Chères abonnées et abonnés1,
J’ai commencé cette newsletter à l’automne pour faire un test. Aujourd’hui, alors que les mésanges et les jonquilles se déchainent, c’est l’heure du bilan.
La formule va connaitre quelques changements : je me suis rendu compte que, même quand le sujet de départ du texte est scientifique, le plus intéressant est d’imaginer les conséquences humaines et sociétales. Dès lors, on peut partir de n’importe quel sujet. Les prochains textes parcourront donc des horizons plus variés, notamment l’environnement, le numérique, les langues ou… on verra bien. Bien sûr, il y aura toujours des textes en lien avec les sciences. Et il s’agira toujours de prospective-fiction, pour se confronter aux effets inattendus d’évolutions naissantes.
Autre point, plus logistique : entre la veille, la cogitation, la rédaction et la mise en forme, chaque texte représente plus d’une demi-journée de travail. Par conséquent, pour avoir le temps de faire autre chose (m’occuper de ma famille et de mon enveloppe corporelle, par exemple), je ramène la fréquence à deux fois par mois. La newsletter vous sera donc envoyée le premier et le troisième samedi de chaque mois.
Si vous avez des commentaires, n’hésitez pas !
Merci, vraiment, pour votre lecture et votre fidélité : ces textes seraient malheureux sans vous. A la semaine prochaine.
Martin
Photo de Katerina Pavlyuchkova sur Unsplash
Abonnés masculins, rassurez-vous, vous m’êtes chers aussi : c’est juste que j’accorde l’adjectif avec le nom le plus proche, comme à une époque pas si lointaine. Je trouve en effet l’écriture inclusive avec point médian pénible à lire et à écrire. Peut-être qu’un prochain texte abordera cette question sensible.